14 novembre 2012

Cujo (Stephen King)

Résumé :
"La chaleur tuera cet été ! Ça va être terrible", avait prédit Evvie Chalmers, la doyenne de Castle Rock. Elle ne se trompait pas : l'été 1980 fut effectivement le plus chaud que Castle Rock eût jamais connu. Ce fut aussi un été sanglant. En fait, tout commença le matin du 16 juin, lorsque Cujo, un saint-Bernard aussi impressionnant que débonnaire, se fit mordre par une chauve-souris. Mais au fond, cela avait peut-être commencé dès le mois de mai, lorsque Tad Trenton avait cru voir un monstre, dans le placard de sa chambre... Bien sûr, ses parents l'avaient rassuré, il avait fait un cauchemar, les monstres n'existent pas, voyons ! Ils se trompaient : même dans les petites villes paisibles, les monstres guettent, tapis dans l'ombre...

Mon avis :
J'avais déjà essayé Cujo y'a hyper longtemps.
J'ai lâché au moment du 1er meurtre, j'avais trouvé les débuts hyper ennuyeux, j’étais démotivée.
Pourtant j'avais vu le film au collège et il m'avait bien fait flipper ma race, le livre aurait du me filer des sueurs froides.
Alors j'ai voulu retenter le coup. Ce livre trônait depuis presque 1 an dans ma PaL, j'en avais marre de l'y voir mais en même temps, j'osais pas.

J'avoue (patapé) que je le trouve encore une fois un peu trop long à démarrer.
40 pages avant que Cujo choppe la rage, ouais ok mais avant ?
Moi j'aime quand on rentre direct dans le vif du sujet (sauf pour Misery. Mais là, même quand il est coincé sous la neige dans sa bagnole, c'est déjà bien flippant).

Par contre, j'avoue que cette fois ci, j'ai eu vachement plus la trouille !
Faut dire que j'ai une espèce de phobie des chiens, les tout petits et les molosses ça me fout une trouille pas possible alors si en plus il bouffe des gens hein merci bien.
*ma vie* quand j'étais gamine, j'ai titillé un molosse. ça lui a pas plu (tu m'étonnes) et il m'a mordu au visage.
Alors imaginez moi lire l'histoire d'un bon gros clebard enragé qui tue des pauvres gens, qui sème la terreur dans sa ville...

Cujo n'a rien arrangé à ma phobie, c'est clair et net que je déteste les gros toutous et là j'ai vraiment été en stress du (presque) début jusqu'à la fin. Mais c'était trop trop bon, j'aime ce genre de peur, c'était tellement réel mon dieu mon dieu !!! King a vraiment un don pour trouver LES mots qui te feront flipper ta race.

Bon évidemment, j'ai quand même été tristoune pour ce pauv chien. Il était tout mignon tout gentil et le voir devenir si violent et tuer tout le monde, c'est terrible :/


 

1 commentaire:

  1. J'adore les livres de Stephen King! Les romans font beaucoup plus peur que les adaptations ciné/télé, c'est un plaisir à chaque fois (si on aime se foutre la trouille évidemment).
    Je n'ai pas lu celui là, mais ça ne saurait tarder. Bises

    RépondreSupprimer

Si tu mets un commentaire, je t'offre un carambar.