23 avril 2012

Le théorème de Cupidon (Agnès Abécassis)


Résumé :
Théorème de Cupidon (déf.) : deux lignes parallèles ne se croisent jamais. Sauf si elles sont faites l'une pour l'autre.

Adélaïde est exubérante, directe, rigolote, mais elle fuit les histoires d'amour.
Philéas est timide, maladroit, sérieux, et ne pense qu'à conclure.
Ils ont le même age, travaillent tous les deux dans le cinéma, pourtant ils ne se connaissent pas.
Enfin, c'est ce qu'ils croient...
Entre situations pétillantes et rebondissements irrésistibles, une savoureuse comédie à deux vois, l'une féminine, l'autre qui a mué.

Mon avis :
Hooooo !!!
Agnès Abécassiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis !!! Ça faisait tellement longtemps mon dieu mon dieu !!
Ce livre là me faisait grandement envie dès le 1er jour de sa sortie, j'avais vraiment hâte de me plonger dedans.
Adélaïde est l'héroïne fétiche d'Agnès Abécassis. Vous savez, la mère célibataire heureuse de l’être, qui a un avis très tranché sur les mecs (tous des cons débiles incapables immatures relous et compagnie).
Il lui arrive le coup classique : fière d’être célibataire, elle rencontre des hommes, les envoie bouler, en a marre que tout le monde (collègues, amis) la harcèle à ce sujet, etc etc.
Il lui arrive plein de petites situations bien drôles pour nous mais franchement embarrassantes pour elle.

Et puis, d'un chapitre à l'autre, on lit Adélaïde ou Philéas, chacun son tour.
On a une vision de la vie de chacun, leur façon de vivre, comment ils pensent, comment ils abordent l'amour.
Jusqu'à la fin où en fait, on a la même histoire racontée par les deux, et c'est plutôt pas mal !
Vous savez bien comment ça marche, un mec et une nana n'ont jamais la même vision d'un même truc.
Là on assiste à leur rencontre, dans la tête de chacun. Et c'est gé-ni-al.

Agnès Abécassis reste ici fidèle à elle même. La retrouver a été un pur plaisir.
J'aime son humour, sa façon de s'exprimer, les blagues qu'elle trouve/fait (pardon mais je me suis toujours pas remise de Jacques Hichane, le célèbre cascadeur). Je me marre pas forcement de la première à la dernière ligne, mais à un moment ou un autre, à chaque page, je ri comme une dinde.
J'ai kiffé, quoi

Fan je suis, fan je resterai.

1 commentaire:

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