23 octobre 2014

Je n'étais qu'un fou (Thierry Cohen)

Résumé :
New York, Upper East Side. Samuel Sanderson est un écrivain célèbre et adulé par le public qui profite de sa notoriété pour séduire ses lectrices... Jusqu'au jour où un curieux message lui arrive sur Facebook :"Je suis toi dans vingt ans. Et je viens t'avertir des drames à venir."

Qui se cache derrière cette mise en garde ? Un lecteur dément ? Un confrère jaloux ? Une femme délaissée ? Un proche qui voudrait lui faire changer de vie ?

Ou s'agit-il vraiment de son double ?
Pris au piège, Samuel part à la recherche de son mystérieux messager. Une quête effrénée et paranoïaque qui le conduira aux frontières de l'amour et de l'impossible.

Mon avis :
Je garde un très bon souvenir de J'aurais préféré vivre. Je l'a lu y'a un bon moment mais je me souviens que c'était niais, mignon tout plein, etc. Enfin, une lecture agréable, mêlant le mystique à l'amour.
J'étais donc plus qu'enthousiaste en commençant la lecture de ce dernier roman de l'auteur.
Et... Je n'ai pas pu aller jusqu'au bout...
J'ai peiné tout ce que j'ai pu pour arriver à mi chemin, je pouvais pas continuer à m'acharner...

Samuel rencontre une femme, coup de foudre, l'épouse, a une fille. L'écriture de son premier roman lui prend 2 ans. Succès immédiat.
Alors, petit à petit, Samuel se perd dans son nouveau rôle d'auteur à succès auprès des femmes qui sort un roman par an, il aime ce petit jeu de séduction que lui offrent ses fans.
Et puis, le couple divorce. Samuel vogue ensuite de fan en fan, s'amusant à les séduire, se lassant dès la 1ere nuit finie...
Son moi futur le contact sur FB pour lui taper un peu sur les doigts et le fait réagir.
Voilà.

Les débuts sont chiants. Mais chiants !
Samuel nous parle de chaque femme qu'il rencontre, pendant 3 plombes on a le droit à la même histoire répétée et répétée. Il n'y a bien que le nom de la femme qui change... Ça va, on a compris, on va pas y passer 107 ans non plus.
Je ne sais pas si quelqu'un ici l'a lu jusqu'au bout et me fera regretter de ne pas avoir persisté, mais vraiment, le récit des relations d'une nuit étaient chiants, plats, vides. Indigestes, presque.

Je suis un peu déçue de ne pas être allée jusqu'à la fin, l'idée de l'histoire était plutôt pas mal (même si moi, le coté "mon moi futur me parle" oui bon, non merci ça ira), mais elle a été selon moi mal gérée, voir mal écrite. Dommage.

3 commentaires:

  1. Ah oui en effet, le concept de départ avait l'air bien, c'est dommage qu'il se perde en route.

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  2. Franchement , au début je ne collait pas non plus et la fin est surprenante , on ne s'y attend pas du tout ;) à ta place , juste par curiosité , j'irai jusqu'au bout... mais comme tu veux , je te conseille vraiment de le finir :)

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    1. Rhooo ça m'intrigue. Je retenterai peut etre le coup alors un de ces jours :)
      D'autant que j'avais bien aimé "j'aurais preferé vivre", du coup c'est un peu couillon

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Si tu mets un commentaire, je t'offre un carambar.