Résumé :
Un phénomène inexplicable s’empare des femmes à travers la planète : une sorte de cocon les enveloppe durant leur sommeil et si l’on tente de les réveiller, on prend le risque de les transformer en véritables furies vengeresses.
Bientôt, presque toutes les femmes sont touchées par la fièvre Aurora et le monde est livré à la violence des hommes.
À Dooling, petite ville des Appalaches, une seule femme semble immunisée contre cette maladie. Cas d’étude pour la science ou créature démoniaque, la mystérieuse Evie échappera-t-elle à la fureur des hommes dans un monde qui les prive soudainement de femmes ?
Mon avis :
Un mois. Il m'aura fallu presque un mois pour venir à bout de ce roman.
Le problème de Stephen King, c'est qu'il peut raconter des choses divines, mais son écriture peut être rapidement imbuvable. Trop de descriptions, trop de personnages d'un coup, trop de choses décousues qui se suivent. Si on ne se plonge pas dedans à 100% on perd rapidement le fil.
Je n'ai absolument rien suivi. J'ai galéré pour me rappeler chaque fois de qui est qui, qui fait quoi, les noms, les fonctions, etc.
Et c'est ultra dommage parce que je trouve que c'est un des meilleurs King.
J'avoue, l'idée que les femmes ne se réveillent plus, que les hommes se retrouvent perdus et qu'en tentant de les réveiller ils se fassent dézinguer violemment par leurs meufs, ça me fait rêver.
Que deviendrait le monde sans les femmes ? Que deviendraient les hommes, sans les femmes ? Ne serions nous pas peinardes, tranquilles, dans notre monde, sans eux ? Est ce qu'ils ne nous manqueraient pas un peu, au bout d'un moment ?
Pourquoi les femmes s'endorment, enveloppées dans un cocon ? Comment les réveiller ? Comment arrêter cette épidémie ? Est ce que c'est possible, déjà ? Qui est Evie ?
On se pose une tonne de questions. Cette histoire d'Aurora est tellement intrigante. On se demande qui, pourquoi, comment.
Malgré les longueurs, on reste happé par l'histoire. C'est tellement passionnant !
Je n'avais presque pas envie de connaitre le fin mot, tant ça me convenait comme ça (oui, vive la misandrie, crevez tous !). Peu importait pour moi s'il y avait moyen d’éradiquer ce "virus", c’était tellement plaisant de lire tous ces mecs galérer à mort pour le moindre petit détail de leur vie, devenir complètement fous..
Sleeping beauties, c'est un rêve. C’était merveilleux.
(mais trop long. vraiment beaucoup trop long)
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