Hunger games (Suzanne Collins)

Résumé :
Imaginez un lointain futur, des États-Unis dont il ne reste plus que douze districts. Imaginez que tous les ans soient organisés des Jeux de la faim, que le district vainqueur bénéficie d'un approvisionnement plus favorable en nourriture. Tout cela reste acceptable. Ce qui l’est moins, c’est la nature de ces jeux. Deux enfants de 12 à 18 ans sont tirés au sort dans chaque district et livrent combat dans l’arène. Il n’y a qu’un seul gagnant : celui qui survit… Le tout organisé comme un grand spectacle, une véritable téléréalité de l’horreur, et imposé à la population. Katniss s’est portée volontaire pour remplacer sa petite soeur tirée au sort. Elle va refuser de se plier à cette mascarade sordide. Un cycle coup de poing qui s’interroge à la fois sur le voyeurisme, les excès du pouvoir et la limite qui sépare l’humanité de la bestialité !

Mon avis :
Alors, à la sortie du livre, j'ai vu tout le monde se ruer dessus, l'encenser, wahou trop génial !
Mais la dystopie, c'est clairement pas mon truc, mais en meme temps l'histoire me bottait carrément...
Le problème, c'est que plus on lit d'avis positifs, plus on place la barre haut.
J'ai pu lire ce livre grâce à Soda71, et j'avoue que j'avais une pression pas possible sur les épaules.
Bref.
Wahou !!!
Ha p*tain les en*ulés !!! (page 240, vous saurez de quoi je parle, ha ha)

J'ai kiffé ma race !
J'avoue par contre, au début, j'ai eu un peu de mal à démarrer :/ J'ai trouvé les présentations un peu trop longues. Mais une fois passée la première partie, c'était juste nickel.
Vraiment, je me suis jetée dans le récit à corps et à cris, je pouvais plus lâcher le bouquin (mais il fallait bien, par moment)

L'histoire est hyper prenante, y'a de l'action, des rebondissements, des questions, de l'angoisse, de la peur, de la violence. C'est hyper bien écrit, c'est pour les djeunces mais c'est pas du tout gnan-gnan, Suzanne Collins ne s'adresse pas au lecture comme si c'était un attardé.

Très vite on est au cœur de l'action, on est plongé dedans à fond avec Katniss à nos cotés.
Elle est super cette nana, super débrouillarde, excellente chasseuse, très intelligente...
Par contre, pendant un bon moment je n'arrivais pas à choisir entre Katniss et Peeta. Y'a toujours eu un moment ou un autre où l'un des deux me paraissait insupportable (ou arrogant, ou débile, ou n'importe.
Je crois qu'en fait, je suis des deux cotés à parts égales.

J'ai aimé la débrouillardise et l'esprit d'analyse de Katniss, c'était génial de suivre sa réflexion, d'élaborer un plan "bon là je dois faire ça comme ça pour telle raison" etc etc...

Et puis, soudain, Rue. ♥ Cette gamine est  géniale, je l'ai adorée. Je crois qu'en fait c'est elle mon personnage preferé.
Alors ok elle n'a qu'une dizaine d'année, mais elle est tellement intelligente, mignonne, et gentille.

En fait je ne sais pas trop quoi dire là. Ce bouquin m'a tuée (ha ha. pardon), je regrette d'avoir attendu si longtemps pour le lire, il me faut immediatement les suites et le film. Là maintenant.
 J'ai tout aimé, l'histoire, l'écriture, les personnages, les descriptions parfaites sans être trop relou, le début, le milieu, la fin.
La fin d'ailleurs. QUELLE FIN P*TAIN !!!
Pas les derniers chapitres dans leur globalité, mais juste la fin, les quelques dernieres pages, quand tout le monde repart. HOLALA !!!

Rha lalala, encore un enÔrme merci à Soda71 !


- Ce ne seront pas de vraies flammes, bien sûr, rien qu'un petit feu synthétique de notre composition, à Portia et à moi. Vous ne risquez absolument rien.
A cou sûr, je serai carbonisée avant d'atteindre le centre de la ville.

- Où est-il passé, d'ailleurs ? Il n'est pas censé nous protéger de ce genre de trucs ? s'étonne Peeta.
- Avec tout l'alcool qu'il a dû ingurgiter, mieux vaut qu'il reste loin des flammes.

Peut-être que la fille ne se souvient pas de moi. Mais je sais que si. On n'oublie pas le visage de la personne qui a représenté votre dernier espoir.

Quoi qu'ait touché l'explosion, il semble que les dégâts soient irrémédiables. Peu importe. Si je parviens à rentrer chez moi, je serai tellement riche que je pourrai payer quelqu'un pour entendre à ma place.